Le "PIR" n'est jamais certain
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2011 devait être l'année de tous les dangers. Ne serait-elle que le prologue de 2012, qui verrait s'abattre le "Jugement dernier" des marchés sur une Europe aveuglée par ses modèles socio-économiques et embourbée dans son expansion ? On n'y tiendrait alors plus les comptes des Etats en fonction du "PIB", mais du "PIR" (Produit Intérieur Réel), adaptation empirique du Résultat Net à la comptabilité publique. Mais si l'on admet que le "PIR" n'est jamais certain, cette crise est peut-être l'occasion de redonner au développement de notre économie une certaine cohérence, et à la décision politique le sens du long-terme.
22 janvier 2012
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